Rosalie Hale Cullen || En cours

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« Rosalie Lillian Hale Cullen » I'm a Cullen Âge ; 18 ans Âge réel ; 94 ans Emploi ; Etudiante Races; Vampire Naissance ; 16 avril 1915 - Rochester - New York ( Amérique ) Orientation Sexuelle ; Hétérosexuel Statut social ; Marié a Emmett Cullen Don ; Aucun sauf si être désagréable est un don vampirique. Star sur l'avatar Nikki Reed

t h i s . i s . m y . l i f e

94 ANS
Le clan des Cullen

IT WAS BEFORE . DECRIVEZ COMMENT ETAIT VOTRE VIE AVANT DE VENIR UN VAMPIRE ( 15-20 lignes minimum ) Je m'appelle Rosalie Hale. Je suis né à Rochester dans les années 1910. Mes parents appartenaient à la classe moyenne. Mon père avait un emploi stable dans la banque, un poste dont il n'était pas peu fier, j'en suis consciente aujourd'hui. Pour lui, sa prospérité récompensait son talent et son ardeur au travail, ce qui revenait à négliger la chance qui accompagne toute chose. A l'époque, je prenais tout pour acquis. Chez nous, c'était comme si la crise économique de ces années-là se limitait a une rumeur déplaisante. Certes, il y avait des pauvres, les malchanceux. Mon père laissait cependant entendre qu'ils étaient responsables de leurs malheurs. Ma mère s'occupait du foyer, de moi-même et des mes deux jeunes frères. Elle veillait à maintenir un ordre impeccable à la maison. J'étais à la fois sa priorité et sa préférée. Sans m'en rendre vraiment compte, je devinais que mes parents ne se satisfaisaient pas de ce qu'ils avaient, bien que cela dépassât de loin ce qu'avait la majorité. Ils désiraient plus, ils nourrissaient des ambitions sociales. Moi j'étais heureuse, ravie d'être moi-même, Rosalie Hale.Je savais ce que je voulais de la vie, et aucun obstacle ne se dresseraient devant moi. Je voulais être chérie, adulés. Je rêvai d'un grand mariage fleuri. L'admiration des autres m'était aussi indispensable que l'oxygène. L'influence de mes parents sur moi était telle que je finis par désirer l'aisance matérielle moi aussi. J'aspirais cependant à d'autres buts, plus authentique. Un en particulier. Ma meilleure amie, Vera s'était mariée a dix-sept ans a peine. Elle avait épousé un homme auquel mes parents n'auraient pas accorder un regard, un charpentier. Un an plus tard, elle eu un fils. Pour la première fois de mon existence j'éprouvai en le voyant une jalousie profonde. J'avais 18 ans, mais j'étais déjà prête a affronter l'existence. Je désirais avoir un enfant. Comme mon amie Vera. Et un jour, le fils de Royce King, le propriétaire de la banque qui employait mon père, demanda a me rencontrer. Je ne remarquai pas vraiment le regard de cet homme, j'y était habituer. Le soir même pourtant, on livra des roses. A partir de là et durant tout où il me courtisa, il me fit envoyer un bouquet de ces fleurs. Au point que ma chambre était surcharger. Royce était beau. Mes parents approuvait cette fréquentation. Il me donnait tous ce dont je rêvais , le prince charmant m'avait transformer en princesse. Nos fiançailles eurent lieu au bout de deux mois a peine. Nous passions guère de temps seul. Royce m'avait confier qu'il avait de lourde tache a la banque. Nous apprécions tous les deux les regards des gens. J'aurais enfin droit a mon mariage, celui dont j'avais toujours rêver. Quand je rendais visite a Vera, je n'étais plus jalouse. J'imaginais que j'aurais des enfants ... Un soir, je rentrai de chez Vera. Je refusais qu'on me raccompagne car je n'habitais pas loin de là. Les rues étaient sombres, les réverbères déjà éteints. Je ne m'étais pas rendu compte qu'il était aussi tard. Le mariage était prévu pour dans une semaine. Je me dirigeai rapidement en direction de la maison. Malgré que cela se fussent passait dans ma vie humaine, je m'en souvenais encore. Je m'y suis accroché a ça depuis le début. Voilà pourquoi ma mémoire m'est rester, alors que les souvenirs plus agréables se sont effacés. Je n'étais plus très loin de chez moi quand je les entendis. Un groupes de jeunes gens ivres, autour d'un lampadaire brisé. Soudain il me héla. « Rose! hurla Royce. Voilà ma Rose! brailla mon futur époux, s'esclaffant avec la bande, l'air tout aussi idiot qu'eux. Tu es dehors bien tard, chérie. Tu nous a fait attendre bien longtemps.» Je ne l'avais encore jamais vu boire. Un petit verre au plus. Il m'avait avouer ne pas avoué ne pas aimer le champagne. Je n'avais pas compris qu'il préférait les boissons beaucoup plus fortes. Il avait un nouvel ami, venu d'Atlanta. «- Qu'est ce que je te disais? N'est elle pas plus mignonne que toutes les fleurs de Géorgie? dit John. - Difficile de juger, lui répondit il. On ne voit rien sous ses fanfreluches.» Ils rirent, tous autant qu'ils étaient, Royce compris. Et soudain ce dernier m'ôta brutalement ma veste. «Montre lui tes attributs, s'exclama-t-il hilare.» Je poussais un cri. Cela semblait leur plaire. Ma souffrance! Je vous épargne la suite. Ils m'abandonnèrent sur le pavé, s'éloignant en titubant et en riant. Ils me croyaient morte. LIFE IS CHANGING . DECRIVEZ COMMENT VOUS VIVEZ DEPUIS VOTRE TRANSFORMATION SI ELLE A EU LIEUX D'ÊTRE. ( 15-20 lignes minimum ) Cela était si long, j'avais l'impression que ça ne finirais pas. J'étais incapable de comprendre pourquoi je ne mourrais pas. J'avais hâte. Pour que ma souffrance cesse. Ce fut alors que Carlisle me découvrit. Attiré par l'odeur du sang je suppose, il était venu aux nouvelles. Je me souviens avoir été vaguement irrité par ses gestes, ses tentatives pour me sauver. Je n'avais jamais aimé le docteur Cullen, sa femme et son frère. A l'époque, c'est ce qu'Edward prétendait être, son frère. J'étais vexée qu'ils soient plus beaux que moi, surtout les hommes. Ils ne se mêlaient pas à la bonne société, cependant, et je ne les avais vus qu'une ou deux fois. Je crus ma dernière heure arrivée quand il me prit dans ses bras et s'enfuir. Sa vitesse était telle que j'avais le sentiment de voler. Je revins à moi dans une pièce claire et tiède, puis, brusquement je sentis une chose s'enfoncer dans ma gorge, mes poignets, mes chevilles. Sous le choc, je hurlai, pensant qu'il allait m'infliger d'autre tortures. Un feu se déclara a l'intérieur de moi et je le suppliais d'en finir. Carlisle resta près de moi, a mon chevet, me demandant le pardonner. Edward était furieux. Mais ils savaient Royce coupable, et j'en étais soulager. Edward me méprisait, du moins c'était ce que je pensait, car a l'époque je ne savais pas qu'Edward lisait dans les pensés, et qu'il décryptait ce qui m'était arrivé dans la mémoire de Carlisle. J'avais peur, il m'avait expliquer sa nature, et je savais que ma vie avait pris fin. J'étais devenu un vampire. L'idée d'être seul m'était insupportable. Lorsqu'enfin la souffrance s'acheva, ils me ré expliquèrent ce que j'étais devenue. Je ne mis plus rien en doute. J'avais soif. Mon dossier était presque aussi vierge que celui de Carlisle. Bien meilleur que celui d'Esmé. Mille fois meilleur que celui d'Edward. Je n'ai jamais goûté au sang humain. Je n'ai assassiné que cinq hommes, en prenant bien soin néanmoins de ne pas répandre leur sang, car je savais que je ne pourrais y résister. Or, je refusais qu'un seul atome d'eux me contamine. J'ai gardé Royce pour la fin. Je voulais qu'il ait entendu parler de la mort de ses amis et deviné ce qui l'attendait. Je désirais que la peur aggrave son trépas. Ça a fonctionné. Lorsque je l'ai rattrapé, il se terrait dans une pièce dépourvue de fenêtre, à l'abri d'une porte épaisse comme celle d'un coffre fort, devant laquelle des hommes armés montaient la garde. Oh pardon! J'avais oublié ces deux la. Cela faisait sept meurtres donc. J\'en suis venue à bout en quelque secondes. Pour Royce, j'en ai rajouté. J'ai agi de manière théâtrale, puérile. Je portais ma robe de mariée, que j'avais dérobée pour l'occasion. Quand il m'a vue, il a hurlé de terreur. Il a d'ailleurs beaucoup crié, cette nuit-là. Le liquider en dernier était une bonne idée, cela m'a aidée à mieux me contrôler, à l'achever plus lentement. J'ai suivis la famille Cullen jusqu'au bout, j'ai été présente quand Edward c'est enfui, puis quand il est revenu. J'étais d'ailleurs sensée être "sienne". C'était dans ce but que Carlisle m'avait transformer. Mais il ne m'avait jamais désiré. Et c'était réciproque. Et un jour, j'ai rencontrer Emmett. Il avait été blessé par un grizzlis, et je l'ai porter sur plusieurs centaine de kilomètres, afin que Carlisle possède a sa transformation. Nous étions amoureux, et nous nous sommes mariés. Plusieurs fois d'ailleurs. Et quelque années plus tard, ce fut au tour d'Alice et de Jasper de venir parmis nous. Nous sommes retournés a Forks où nous vivons actuellement. Enfin, où nous sommes retourner. D'ailleurs, si vous voulez mon avis, ce retour est une très mauvaise chose. Nous avons déjà était très mal vu lors de notre premier séjour a Forks. A cause de ces indiens. Il y a quelque années, lorsque moi et ma famille étions venu à Forks, nous chassions. Des animaux bien sûre. Mais ces Quileutes, sois dis en loup-garou, connaissais notre secret. Toutefois, ils c'étaient bien rendu compte que nous étions de "gentils" vampire. Nous avons donc passer un accord, si nous ne chassions pas sur leur territoire et que nous ne tuions pas d'humain, tout irais bien. C'était donc ce jeter dans la gueule du loup, et pardonnez-moi l'expression, que de retourner a Forks. Contrairement a ce que je pensais, le début de notre vie a Forks était assez sympa. Mais l'an dernier, il avait fallu qu'une humaine tombe sous le charme d'Edward, et que se soit réciproque. Maintenant elle connaissait notre secret. Elle nous a causer assez d'ennuis comme ça, je n'espère qu'une chose ... En être débarrasser bientôt. . DECRIVEZ VOTRE CARACTÈRE ( 5-10 lignes minimum ) Pour cette partie, je ne parlerais pas à la première personne. Il nous faut une vision subjective. Alors, comment peut on décrire le caractère de Rosalie? Disons d'abord qu'elle est loin d'être un ange, bien au contraire. Ce n'est pas qu'elle est particulièrement méchante, mais elle est déterminer, et elle a horreur que quelqu'un ce mette en travers de son chemin. Elle est également têtu, quand elle a quelque chose dans la tête, il faut vraiment déployer force et courage et être très tenace pour la faire changer d'avis. Depuis qu'elle est très jeune, Rosalie superficielle. Elle est belle et elle le sait. Elle sait aussi que depuis qu'elle est devenu vampire, elle ne passe pas inaperçu, et elle est encore plus jolie qu'avant. Mais devant sa façade de peste froide et superficielle, se cache une jeune femme qui, même si elle a finalement trouver le véritable amour en la personne d'Emmett, souffre de la scandaleuse attaque dont elle a été victime, et de ne pas avoir d'enfant. Car, malgré les apparences, Rosalie possède un très grand instinct maternelle.

Oo. Et ben dis donc quel accueil =)
Que me vaut l'honneur de tant d'enthousiasme? ^^
Je te remercie.
Je pense terminer ma présentation demain.
Alice, merci a toi aussi.
Ta méchante soeur est arriver ^^

Welcome blondie

Héhééé x)